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Quand TVA compare ses œuvres à celles de Riopelle, Caroline Bergeron est bouleversée. Cette reconnaissance inattendue marque le point de départ d’un parcours fulgurant, entre New York et Paris, guidé par l’audace, la curiosité et la passion de créer.

« Un jour, j’aurai un ARO ! » Cette phrase, je l’entends depuis bientôt neuf ans. Derrière elle, il y a un rêve, une émotion, une promesse : celle de s’offrir un jour une œuvre qui résonne profondément. Et si ce jour, c’était maintenant ?

J’ai eu le privilège d’assister à cela, plusieurs fois. Et j’adore ces moments. Ça pourrait me mettre mal à l’aise, mais c’est tout le contraire en fait. Ça confirme hors de tout doute le pourquoi je fais ce que je fais : créer des émotions.